Quelle histoire, n’est ce pas ?
Vous devez être à bout de souffle devant un tel suspens.
Avant que la police du premier degré ne me tombe dessus,
bien sûr le crime du vendeur n°1 n’est pas de ne pas connaître le mot « lavallière »
mais bien d’avoir une attitude où l’impolitesse le dispute à l’incompétence.
Comment se passe votre rentrée ?
404 pour les girls